Catégorie : ‘Freelancing – Consulting’

  • 7
  • mars
  • 2016

Une histoire entrepreneuriale, grâce à Baya Consulting !

Dans la cadre de la semaine de l’entrepreneuriat au féminin qui a lieu du 7 au 12 mars 2016

Les Inattendus de l’Emploi et de la Com’
Une histoire entrepreneuriale, pas si Inattendue grâce à Baya Consulting !

Un succès entrepreneurial ne dépend pas du simple fait d’être une femme. Être une femme n’est ni un atout , ni un handicap! Seul compte le projet,  le courage réfléchi, structuré de se lancer dans le monde de l’entrepreneuriat. Plus encore les partenaires de cette aventure.

La réussite entrepreneuriale : C’est  avant tout être créatif, innovant, flexible  sauf que pour le banquier peu importe l’idée, l’excellence du  produit,  le temps nécessaire au développement, à la construction progressive de l’organisation …  ce qui compte,  ce sont bien   la viabilité du projet, le financement,  la sécurité …

Bref que tout cela soit surtout rentable et sans risque.

Pas si simple de chiffrer du temps, l’émergence d’un concept …  et pourtant … Baya Consulting, et plus encore les équipes de Baya Consulting vous offrent  ce temps précieux, sécurisent tous ces petits pas nécessaires au développement, à la naissance de l’entreprise, et surtout de l’entrepreneur. Leur agilité permet de rendre le dirigeant autonome, de valider le concept même de son entreprise. Plus encore, Baya Consulting fait naître des Dirigeants d’entreprise.

Parce qu’entreprendre c’est oser se faire confiance, c’est croire en son idée, ses produits, ses services. Certaines femmes hésitent encore pensant que l’entrepreneuriat est un espace exclusivement masculin, d’autres sont au contraire de véritables requins. Pour ma part,  je me considère comme une entrepreneuse, j’ai choisi le portage salarial et Baya consulting, je me sens à ma juste place ayant bien conscience qu’entreprendre c’est difficile, point.

Les Inattendus de l’Emploi et de la Com’
Pascale SOLONA
Fondatrice engagée

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  • 1
  • mars
  • 2016

La réforme du statut de l’auto-entrepreneur en 2016

Auto-entrepreneur (micro-entrepreneur depuis le 1er janvier 2016 –  APCE) : le statut de la discorde !

Lors de son discours du 18 janvier dernier, le Président de la République avait annoncé dans le cadre du nouveau plan pour l’emploi, la réforme du statut de l’auto-entrepreneur. Les discussions sont en cours et les mesures défendues par le ministère de l’Economie  reçoivent, selon le journal « Les Echos » l’opposition du Ministère des Finances. Et si la discorde sur cette réforme semble opposer Emmanuel Macron et Michel Sapin, on grince aussi des dents du côté des représentants des PME/TPE.

Les principales nouvelles mesures de simplification pour le statut de l’auto-entrepreneur

portent sur la suppression du stage préalable à l’installation (obligatoire pour les artisans), la suppression de l’obligation d’avoir un compte bancaire dédié et surtout le relèvement des seuils de chiffres d’affaires permettant de bénéficier du statut d’auto-entrepreneur.

Et c’est bien cette dernière disposition, avec le triplement de ce seuil (100 000 € pour les services) qui reçoit toutes les oppositions.

Avec un tel seuil de chiffre d’affaires, cela permettrait « à la quasi-totalité de la population éligible d’opter pour ce dispositif, c’est-à-dire presque tous les artisans et surtout une majorité de professions libérales non réglementées« , selon le ministre des Finances.

Selon la fédération CINOV et le PEPS  (syndicat représentatif des Professionnels de l’Emploi en Portage Salarial) – « rien de tel pour détruire de l’emploi, pour accentuer les défaillances d’entreprises, et précariser davantage des indépendants qu’on incite à raisonner à court terme » avec notamment :

  • L’apparition d’une concurrence déloyale et de nouveaux prestataires à tarifs discount ne faisant qu’opposer les professionnels entre eux.
  • Une protection sociale au rabais qui ne ferait qu’accentuer le déficit des organismes sociaux déjà défaillants.
  • Un risque encore plus grand de requalification pour les entreprises utilisatrices.

Les arbitrages sont en cours et les services de Bercy ne sont pas opposés à une évolution de la réforme du statut.

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  • 6
  • février
  • 2015

La réforme de la formation : un tournant significatif !

Exite le DIF pour le CPF

La réforme de la formation engendre des changements substantiels qui vont influencer à la fois les habitudes des salariés mais également le marché de la formation. Nous allons évoquer ici les chapitres qui nous semblent les plus significatifs (ce qui n’engage que nous !).

 

Exit le DIF au profit du CPF

Premier changement important : depuis le 1er janvier 2015, exit le DIF au profit du CPF (Compte Personnel de Formation) !

Il s’agit d’un compte qui suit chaque individu tout au long de sa carrière, de son entrée sur le marché du travail jusqu’à son départ à la retraite. Ce compte est géré par la Caisse des Dépôts et Consignations et est accessible sur www.moncompteformation.gouv.fr. Il convient d’ailleurs que chacun se connecte sur ce compte pour s’identifier et renseigner les heures de DIF non utilisées (informations transmises par l’employeur au plus tard le 31/01/2015).

 

Fonctionnement du CPF

Les heures cumulées dans le cadre du DIF (Droit Individuel à la Formation) et non consommées peuvent être mobilisées pendant 5 ans dans le CPF.

Le principal changement par rapport au DIF tient dans le fait que les formations accessibles au titre du CPF sont à visées qualifiantes / certifiantes. Elles peuvent être suivies sur ou hors temps de travail (attention certaines formations nécessitent l’accord de l’entreprise).

On peut cumuler jusqu’à 150 heures (24h par an jusqu’à 120 heures puis 12 heures jusqu’au plafond). L’acquisition reste proportionnelle au temps de travail.

Ce point est particulièrement important tant pour les salariés que pour les organismes de formation car il ferme l’accès à un certain nombre de formations, suivies via l’ancien DIF, au profit des formations qualifiantes.

Pour utiliser son CFP, il convient également de se rapprocher de la branche dont dépend son activité dans la mesure où une liste des formations accessibles sera (ou a été) dressée dans des accords signés entre la fin 2014 et ce début d’année 2015.

 

L’entretien professionnel

entretien profesionnelDeuxième point important de la réforme : l’entretien professionnel

Deuxième point important de la réforme : l’entretien professionnel, consacré aux perspectives d’évolution professionnelle du salarié, notamment en terme de qualification et d’emplois. Différent de l’entretien annuel d’évaluation, il est doit être organisé tous les 2 ans à l’initiative de l’employeur. Un certain formalisme l’encadre car il doit faire l’objet d’un état des lieux tous les 6 ans potentiellement contrôlable par l’administration.

 

 

Le financement des formations

Troisième point important de la réforme : le financement. En 2016, seuls deux taux seront applicables :

  • les entreprises de moins de 10 salariés verseront 0,55% de leur masse salariale brute
  • les entreprises de 10 salariés et plus de 10 verseront 1% (taux unique).

Reste à l’employeur de financer toujours les actions visant à remplir notamment ses obligations d’adaptation au poste de travail et de maintien dans l’emploi qu’il y soit aidé ou non.

 

Un tournant significatif pour la formation

Formation professionnelle CPF
Cette réforme représente des changements importants pour la formation :

  • avec le CPF, on passe d’une logique de statut (salarié) à une logique de personne (individu)
  • avec l’entretien professionnel, l’entreprise va devoir passer d’une logique de « payer » à une logique de « faire » (engagement)
  • avec la nouvelle fiscalité, l’entreprise va devoir viser à la fois la « qualification » et « l’adaptation et le développement des compétences » de ses collaborateurs.

 

Pour ce qui est du prestataire de formation, cette réforme fait émerger de nouveaux besoins tant pour les salariés que pour les entrepreneurs qu’il conviendra de satisfaire.

Il est clair que le législateur veut faire de la formation une opportunité de développement pour tous.

Petite précision : au moment où paraît cet article, des accords de branches et des décrets d’application de la loi du 5 mars 2014 ne sont pas encore sortis. Reste encore quelques nouveautés à découvrir !

Consultez les solutions formations de Baya Consulting.
Contactez-nous pour toute question concernant la formation.

 

 

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